Four Data dans Le Bien Public
De start-up à PME : l’exemple rarissime de Four Data
Cinq ans après sa création dans une grange à Vitteaux, la société Four data a bien grandi. La start-up œuvrant dans les objets connectés est devenue une PME propriétaire de trois marques déposées.
D’ailleurs, comment et pourquoi quitte-t’on le statut de « jeune pousse » pour celui d’une entreprise classique ?
Yann de La Roche Saint André, directeur général, y répond.
Start-up, TPE, « scale-up » ou PME : une question de vocabulaire ?
Avec la « start-up nation » d’Emmanuel Macron, on n’a jamais autant entendu parler de ces « jeunes entreprises innovantes ». Avec l’exemple des Dijonnais de Four Data, nous comprenons mieux que cet anglicisme est un brin galvaudé puisqu’aucun statut n’existe en Chambre de commerce.
Les associés ou actionnaires d’une start-up sont, en réalité, simplement regroupés en SARL, SAS ou SA, comme n’importe quelle TPE. Ils procéderont à différentes levées de fonds dans un ordre précis suivant leur maturité (pré-seed, Série A, Série B) avant de pouvoir prétendre devenir une « scale-up ».
« Scale-up », un nouveau terme utilisé pour identifier les start-up ayant réussi à croître, avec 20 % de rendement au cours des trois dernières années et au moins dix salariés. Aux yeux de l’Insee, elles deviennent tout simplement… des PME.
Merci à Marie Morlot et au Bien Public pour ce bel article qui met en valeur notre aventure ! (qui, d’ailleurs, ne fait que commencer… ! ;))